J'ai contacté Katia Gagnon, une journaliste qui a fait d'excellents reportages sur le français dans nos écoles. Je voulais lui parler de l'expérience de la CSDM qui investit dans des classes spécialisées pour les dyslexiques et qui y met beaucoup de ressources. Si plus de gens sont au courant de leur existence et demande que leur enfant y ait accès, l'expérience sera renouvelée et peut-être même (on vit d'espoir) élargie. On verra si elle pourra faire une suite. J'ai juste été un peu dure pour certains parents. J'ai dit que les parents savent dans leur for intérieur que leur enfant est en difficulté. J'ai juste oublié de prendre en considération l'hérédité. Souvent la dyslexie est héréditaire. Si les parents sont atteints, comment peuvent-ils aider leurs enfants?
En parlant, elle m'a refait vivre quelques années difficiles au moment où on cherchait à mettre le doigt sur le problème. Je vous promets de coucher cela sur papier prochainement pour que les autres sachent où chercher de l'aide.
Les bons coups de la CSDM
Posted by Sophie
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2 Responses to "Les bons coups de la CSDM"
Bonjour,
Est-ce que vous parlez des classes DGA-TA de la CSDM?
Merci
Martin
enseignant classe DGA-TA
Oui, dans plusieurs de mes billets car mon fils est dans une de ces classes depuis maintenant deux ans. Il y est très heureux. Moi aussi d'ailleurs après avoir eu peur que les standards soient tellement baissés que ce soit une éducation à rabais cheap pour des enfants considérés comme perdus de toute façon. Mais ce n'est pas le cas, surtout cette année où la prof essaie de leur faire donner leur plein potentiel.
Il n'y a pas assez de place cependant pour tous les enfants qui en ont besoin.
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